Poème sombre...

J'aime au plus haut point m'exprimer en poésie de cette façon! C'est comme une deuxième nature, c'est un tel exutoire. Je n'a rien à ajouter à part " lisez ".


Sombres Abysses

L'infernal, que dis-je, le magnifique, la superbe antre encrassée, décrassée.
Le vers obscène, plonge, sphérique," textiquise ", l’épiderme de la naïve doctrine, l'expectorée.
Humaine, elle se gausse d'être, de l'être, os, tripes, déchets malpropres, proprement broyés.
L' incantation sémillante, que d'audace, la galle vomit, engorgée, harnachée, vers chez.
L'être susnommé, celui qui ondoie de l'humain, qui est amertume, Lucie, la jolie nommée.

L' incantation de l'amante vénielle, elle, l'insecte auburn, lignes sélinoides de dédales.
Ils serinent l'atroce oraison funèbre, hô raison, exhausteurs mal avisés, maîtres pyramidales
La censure assemble les textures, eurent, effrayé la gène de trop, multitudes exhalent.
La fin du temps tapote, l'organe ocre, sang du pharaon, il clapote, se décale.
La balance de l'humanité, jeune sur le pèse bébé, Sekhmet juge, s'insurge et se fait partial...




Onde de l'animale